À Claude II Belin, le 18 octobre 1630
Note [10]
« parce que ces remèdes fictifs, avec leurs qualités occultes (qui sont réellement nulles), n’auraient de plus grande vertu que vider les cassettes des malades pour enrichir les apothicaires ; mais de cela je vous dirai plus une autre fois. »
Ce passage sur les qualités occultes allait éveiller la fureur de Belin.