« Je n’entends non plus cela que le haut allemand, c’est-à-dire, que c’est une chose qui n’est point intelligible » (Furetière).
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Claude II Belin, le 4 novembre 1631, note 22.