À Charles Spon, le 18 janvier 1644
Note [36]
Pour conclure au lieu de commencer l’allusion à Renaudot (son acrostiche, v. note [32], lettre 98), Guy Patin a déplacé la phrase parlant de ceux qui ont le nez puant :
Utut sit, miseri homuli medicina indigent, sed violenta, ferro et flamma.
[Quoi qu’il en soit, ces misérables petits hommes n’ont d’autre recours que les remèdes violents, le fer et le feu].
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