À Charles Spon, le 8 mars 1644
Note [38]
« enfin, je dépose ici mes cestes et mon art » ; le vers d’origine (Énéide, chant v, vers 484) qui termine le combat d’Entelle contre Darès est : hic victor cæstus artemque repono [victorieux, je dépose ici mes cestes et mon art].
Le ceste était le « gantelet de cuir souvent garni de plomb, qui servait aux anciens athlètes pour combattre à coups de poings dans les jeux publics » (Littré DLF).