« Si j’en vois une dont l’air farouche rappelle la rigidité des Sabines, je pense qu’elle a des désirs, mais qu’elle les cache sous ses grands airs » (Ovide, Amours, livre ii, élégie 4, vers 15‑16).
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 10 août 1649, note 8.