À Charles Spon, les 19 et 22 octobre 1649
Note [18]
« cette pensée que j’ai pour vous est forte et agréable ; c’est une très considérable et très grande récompense » ; paroles de Dieu à Abraham : « ne crains point, je suis ton bouclier, et ta récompense sera très grande [merces tua magna nimis] » (Genèse 15:1).