À Charles Spon, le 8 janvier 1650
Note [25]
En guise d’étrennes, Charles Spon avait adressé à Guy Patin une première ébauche des vers (au nombre final de 16) du poème latin (v. note [38], lettre 224) qu’il allait lui dédier en tête du Sennertus, alors sous presse à Lyon.
La suggestion de Patin fut bien reçue puisque le 13e vers en est :
Artibus absque malis Arabum, Chymicisque venenis ?
[< combien d’effroyables maladies ne soulagez-vous… > sans les maléfices des Arabes, ni les poisons chimiques ?]