À Charles Spon, le 24 mai 1650
Note [5]
Journal de la Fronde (volume i, fo 216 ro, 11 mai 1650) :
« Le même jour, la Grand’Chambre, l’Édit et la Tournelle s’étant assemblées, vérifièrent l’amnistie générale {a} de ce qui s’était passé à Paris le 11 décembre lorsque le marquis de La Boulaye voulut faire prendre les armes. » {b}
- Le coadjuteur y était aussi inclus.
- On amnistiait le complot du 11 décembre 1649 sans en avoir démêlé tous les fils (v. note [2], lettre 216).