À Charles Spon, le 11 mai 1655
Note [7]
Les deux traités dont Guy Patin nourrissait ici le projet depuis sa nomination au Collège de France à la fin de septembre 1654 (v. notes [32] et [34], lettre 372), ou même depuis plus longtemps, avaient pour thèmes « les médicaments purgatifs tant simples que composés » et « les altérants tant simples que composés », mais il n’en vint jamais à bout.