À Charles Spon, le 6 juin 1655
Note [3]
« mais qui professe un art qu’il ne comprend pas » (v. note [18], lettre 290).
Un paragraphe ayant sans doute été escamoté dans la transcription de Reveillé-Parise, il faut imaginer que l’énumération qui commence ici est la réponse que Guy Patin apportait à la question que Charles Spon lui avait posée dans une précédente lettre, au sujet de trois médecins princiers, tous protestants et originaires de Lyon, qui avaient soigné sa belle-sœur, Marie Seignoret, lors de son séjour à Paris.