« qui, si elle est retenue et laissée là, provoquera soit, par son abondance, la suffocation, soit, par sa virulence, la gangrène de ces parties. »
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Hugues II de Salins, le 15 novembre 1657, note 22.