À Hugues II de Salins, le 27 décembre 1657
Note [17]
« toute quarte provient d’une humeur corrompue, laquelle étant très chaude, le vin est fort délétère à tous les quartanaires s’il n’est fort dilué et un peu vieux ; et même ainsi, il ne convient pas dans la quarte, mais on le propose et permet parce qu’en quelque façon il donne des forces. »