À Hugues II de Salins, le 27 décembre 1657
Note [19]
« qu’ils s’abstiennent entièrement de bouillie ».
La panade était une « espèce de soupe ou de potage fait de pain cuit et imbibé dans le jus de viande, qu’on donne aux malades qui ne peuvent pas encore digérer la viande, et aux personnes délicates, qui en prennent le matin en guise de bouillon pour s’engraisser » (Furetière).