« ce sont des fièvres hivernales, dont la malignité est accrue par le froid ambiant qui empêche la transpiration. »
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 5 février 1658, note 31.