À Hugues II de Salins, le 7 septembre 1660
Note [4]
« Nul n’a mieux écrit sur la fièvre pourpre {a} qu’un certain médecin de Rostock, nommé Neucrantz. {b} Dans cette affection, si la pléthore ne menace pas, il faut pourtant saigner avec modération ; et après l’aube du septième jour, il faut purger résolument ; car en effet, on ne vient pas à bout d’une telle maladie sans purgation répétée. »
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