« Je vous salue, ainsi que votre très chère ; je me réjouis fort de sa convalescence et en suis transporté d’aise. Vale et aimez Guy Patin qui est vôtre de tout cœur. »
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 26 juillet 1661, note 11.