À André Falconet, le 23 septembre 1661
Note [4]
« que j’ai en mon for intérieur et qui ne vous sont pas inconnues » : spéculations de Guy Patin sur les changements des médecins royaux dont je ne suis pas parevnu à pénétrer les subtilités, sauf à penser à son espoir secret d’une promotion aulique pour son cher fils, Carolus (v. note [1], lettre 713). Rien de tout cela ne se produisit pourtant : François Vallot (nommé en 1652) et François Guénault (nommé en 1661) demeurèrent premiers médecins respectifs du roi et de la reine, ni Nicolas Brayer ni Charles Patin ne furent promus.