À André Falconet, le 19 janvier 1663
Note [9]
« De la blessure infligée subsiste une cicatrice qui ne s’effacera pas facilement. “ Jamais l’avare n’en a assez ” [Horace, Épîtres, livre i, lettre 2, vers 56]. »
La « petite disgrâce » dont Philibert Morisset, récent doyen de la Faculté de médecine, avait été victime (et dont il demandait réparation) a été évoquée à la fin de la lettre à Falconet datée du 8 décembre 1662 (v. sa note [7]). Je n’en ai pas trouvé le motif exact, mais suppose qu’il s’agissait d’une dispute sur les honoraires qui lui étaient dus pour avoir soigné le jeune Louis de Rohan-Chabot.