À André Falconet, le 28 février 1665
Note [5]
« l’épouvante force à comprendre », Isaïe 28:19) :
Mane diluculo pertransibit in die et in nocte et tantummodo sola vexatio intellectum dabit auditui.[Matin après matin il passera, le jour et la nuit ; il n’y aurait qu’épouvante à en comprendre la révélation].