À André Falconet, le 12 mars 1666
Note [3]
Le mot taille s’utilisait, comme aujourd’hui, « pour marquer la hauteur ou la grosseur des corps, leur proportion ou disposition » ; mais aussi « la malfaçon du corps : les bossus, les boiteux sont des gens de vilaine taille, qui ont la taille contrefaite, gâtée » (Furetière).
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