À André Falconet, le 28 mai 1666
Note [5]
« Par sottise, nous convoitons le ciel » ; Horace, Odes, livre i, iii, vers 37‑40 :
Nil mortalibus ardui est :
cælum ipsum petimus stultitia neque
per nostrum patimur scelus.[Rien n’est inaccessible aux mortels : par sottise, nous convoitons même le ciel, et n’admettons pas notre scélératesse].