« Quelle rue, en effet, ne regorge point de polissons à l’air austère ? » (Juvénal, v. note [9], lettre 763).
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 29 avril 1667, note 10.