À Nicolaas Heinsius, le 14 juillet 1651
Note [9]
Pline le Jeune (Letres, livre 7, début de l’épître xxxiii, à Tacite) :
Auguror nec me fallit augurium, historias tuas immortales futuras ; quo magis illis, ingenue fatebor, inseri cupio.
[J’ai le pressentiment, sans me tromper, que vos histoires seront immortelles. C’est, je l’avoue ingénument, ce qui m’inspire un désir fort ardent d’y être cité].