À N. de Villedon, le 20 septembre 1658

Note [5]

Un lecteur fort bienveillant pourrait voir dans ce bel aveu de Guy Patin une prémonition de l’immense découverte des capillaires sanguins par Marcello Malpighi en 1661 (v. note [19] de Thomas Diafoirus et sa thèse).


Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À N. de Villedon, le 20 septembre 1658, note 5.

Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=1141&cln=5

(Consulté le 11/02/2025)

Licence Creative Commons "Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale 4.0 International.