À Johannes Antonides Vander Linden, le 22 novembre 1658
Note [1]
Guy Patin en voulait à Jean Elsevier de ne pas avoir tenu son engagement envers Johannes Antonides Vander Linden quand il lui avait confié sa lettre : au lieu de la faire porter à Paris par ses commis voyageurs, il l’avait confiée à la poste, avec l’inconvénient pour le destinataire d’avoir à en régler les frais de port.
Patin s’y résignait à contrecœur et demandait donc à Linden de recourir désormais à la voie postale, sauf s’il trouvait un messager plus fiable qu’Elsevier. Il est revenu sur la question dans sa lettre latine 116 (v. sa note [1]).