À Johann Georg Volckamer, le 25 février 1661
Note [2]
« qu’un médecin se permette de prescrire parfois à ses malades certains médicaments choisis contre le gré et la volonté des pharmaciens » : v. note [4], lettre latine 127, pour ce propos de Thomas Reinesius dans sa Chimiatria (Gera, 1624).