À Johannes Antonides Vander Linden, le 8 février 1662
Note [3]
Guy Patin a barré tout ce passage entre accolades : peut-être craignait-il les indiscrétions de la censure, car il semblait attribuer des activités politico-diplomatiques à Julien Piètre (v. note [1], lettre latine 173). Quelques lignes plus bas dans sa lettre, Patin est néanmoins revenu sur la bonne livraison du portrait de Johannes Antonides Vander Linden (v. note [10], lettre latine 99) par Piètre (mais sans parler du reste).
Comme l’établit sa correspondance (Collection des lettres et mémoires trouvés dans les porte-feuilles du maréchal de Turenne…, Paris, tome premier, 1782, in‑fo, pages 342 et suivantes), Turenne négociait alors un traité d’alliance entre la France et les Provinces-Unies (aux dépens des Britanniques).