À Johannes Antonides Vander Linden, le 4 mai 1663
Note [11]
« comme les marchands en ont l’habitude, ne peuvent faire de gain sans mentir effrontément ni sans flatter les grands qui veulent être trompés. »
Cicéron (Des Devoirs, livre i, chapitre 42) :Sordidi etiam putandi, qui mercantur a mercatoribus, quod statim vendant ; nihil enim proficiant, nisi admodum mentiantur, nec vero est quicquam turpius vanitate. [Doivent aussi être réputés vils les trafics des marchands qui achètent pour revendre aussitôt ; ils ne peuvent faire de gain sans mentir effrontément, et rien n’est plus bas que la duperie].