À Werner Rolfinck, le 28 août 1665
Note [2]
Guy Patin reprenait ici, mot pour mot, la phrase qu’il avait barrée à la fin de sa précédente lettre (écrite le même jour à Johann Georg Volckamer, v. sa note [5]), à propos du « Jardin royal de Paris » de Denis Joncquet (Paris, 1665, v. note [3], lettre 841).