Note [124]
Le défenseur de Charles Patin taisait le fait que, quand il ne s’agissait pas de livres contrefaits (littéraires ou scientifiques) qui violaient les droits concédés par privilège royal, presque tous les ouvrages saisis étaient frappés de censure car ils touchaient de manière tenue pour subversive aux domaines de la politique, de la morale ou de la religion. Il ne faisait absolument aucun doute que Carolus se livrait à la librairie clandestine, et ce à grande échelle.