Autres écrits : Ana de Guy Patin :
Patiniana I‑4 (1701)
Note [22]
« il l’avait détruit par son venin, et lui, en a ensuite infecté quantité d’autres. »
L’audacieux Tractatus de Immortalitate animæ [Traité sur l’immortalité de l’âme] (1516) de Pomponace, qui lui avait valu l’animosité de l’Inquisition (v. note [67], lettre Naudæana 1), s’était en partie inspiré du commentaire de Cajetan sur le De Anima [De l’Âme] d’Aristote (paru en 1510), comme l’a confirmé Annalisa Cappiello dans son article intitulé Tommaso de Vio Gaetano, Pietro Pomponazzi e la polemica sull’immortalità dell’anima. Status quæstionis e nuove scoperte [Thomas de Vio Cajetan, Pomponace et la polémique sur l’immortalité de l’âme. État de la question et nouvelles preuves] (Noctua, Anno v, n. 1).
Cet article du Patiniana figure dans le manuscrit de Vienne (page 77).