Ces deux articles sont empruntés à la lettre que Guy Patin a écrite à Charles Spon le 17 septembre 1649.
Son 2e paragraphe évoque de manière bien plus détaillée (v. sa note [4]) le procès des libraires parisiens pour interdire la vente foraine de livres sur le Pont-Neuf. La dernière phrase est une addition originale, mais sa pertinence et sa signification sont douteuses.
Son 6e paragraphe abrège, mais expose en termes très similaires les doutes (que Nicolas Bourbon le Jeune a aussi exprimés, v. note [47] du Borboniana 6 manuscrit) sur l’antiquité réelle de L’Histoire d’Alexandre le Grand rédigée par Quinte-Curce (v. ses notes [18]‑[29]).
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Autres écrits : Ana de Guy Patin : L’Esprit de Guy Patin (1709), Faux Patiniana II-2, note 18.