Autres écrits : Ana de Guy Patin :
L’Esprit de Guy Patin (1709),
Faux Patiniana II-2
Note [3]
« et cependant je ne suis pas allé jusqu’au point d’impiété qu’Ovide a jadis atteint, pleurant un ami mort :
“ Quand je vois le malheur nous arracher les plus vertueux, pardonne-moi cet aveu, je suis tenté de croire que les dieux n’existent pas ” » {a}