De Charles Spon, le 6 avril 1657
Note [1]
« [que] je survis et que nous respirons l’air du jour » ; Virgile (Enéide, chant i, vers 546‑548) :
Quem si fata virum servant, si vescitur aura
[Si les destins gardent en vie ce héros, {a} s’il respire l’air du jour, et s’il ne repose pas déjà chez les ombres cruelles, nous ne craignons rien].
ætheria, neque adhuc crudelibus occubat umbris,
non metus.
- Énée (v. note [14], lettre d’Adolf Vorst, datée du 4 septembre 1661).