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« seule raison pour laquelle ». La brouille au sujet des médecins de Montpellier entre Guy Patin et Claude ii Belin, père, se confirmait ici avec éclat : il avait alors cessé (sous prétexte de maladie) de correspondre avec son ami parisien ; son fils Nicolas assurait encore un lien entre eux. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Nicolas Belin, le 17 décembre 1646, note 4.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0140&cln=4 (Consulté le 11/12/2025) |