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« difficiles à compter, tant ils sont nombreux » (Martial). Ceux à qui Guy Patin comparait ses deux bêtes noires de Montpellier, Siméon Courtaud et Lazare Rivière, avaient tous été docteurs régents de la Faculté de médecine de Paris. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 29 octobre 1647, note 6.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0147&cln=6 (Consulté le 07/12/2025) |