| Note [178] |
|
Passer du denier dix au denier douze, c’était faire baisser de 10 à 8,33 pour cent le taux des emprunts de l’État et ralentir ainsi la faillite qui menaçait le Trésor royal. |
|
| Imprimer cette note |
|
Citer cette note
x
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 20 mars 1649, note 178.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0166&cln=178 (Consulté le 09/12/2025) |