| Note [16] |
|
On dit « il n’est pas échappé qui traîne son lien, de ceux qu’on rattrape après qu’ils se sont sauvés de prison », « qu’on n’est pas échappé quand on traîne son lien » (Furetière). |
|
| Imprimer cette note |
|
Citer cette note
x
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 20 août 1649, note 16.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0193&cln=16 (Consulté le 09/12/2025) |