| Note [5] |
|
Les vertus narcotiques de la thériaque (sans doute les seules qu’elle eût vraiment) étaient liées à sa richesse en opium. V. l’observation xi (sur la thériaque et le mithridate) pour les vertus distinctes de la thériaque nouvelle (c’est-à-dire fraîchement préparée), tenue pour un remède « froid », et pour celle qu’on avait laissé vieillir pendant plusieurs années, qui devenait de plus en plus « chaude ». |
|
| Imprimer cette note |
|
Citer cette note
x
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 10 janvier 1650, note 5.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0213&cln=5 (Consulté le 07/12/2025) |