| Note [17] |
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« On dit proverbialement gueux comme un peintre, mais ce proverbe est devenu faux en ces derniers jours où la peinture a été cultivée et anoblie. […] Il est gueux comme un rat d’église, c’est-à-dire, il est si pauvre qu’il n’a pas de quoi manger » (Furetière). |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 1er mars 1650, note 17.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0219&cln=17 (Consulté le 14/12/2025) |