| Note [4] |
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« puisque nos chimistes, tous autant qu’il en existe ici, sont de fort misérables petits hommes, ignorants et illettrés, mendiants calamiteux, vénaux et tombés plus bas que terre ». |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 4 novembre 1650, note 4.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0247&cln=4 (Consulté le 08/12/2025) |