| Note [21] |
|
« en l’état tourmenté de nos affaires ». V. note [57], lettre 176, pour le siège de Paris en 1649 que le P. François Faure, évêque de Glandèves depuis mars 1651 (v. note [7], lettre 259), n’avait pas même considéré comme un péché véniel de la pieuse reine à l’encontre des Français. |
|
| Imprimer cette note |
|
Citer cette note
x
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, les 5 et 7 juin 1652, note 21.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0288&cln=21 (Consulté le 09/12/2025) |