À Charles Spon, le 5 décembre 1653, note 12.
Note [12]

« On dit proverbialement mordre à la grappe lorsqu’on fait quelque discours ou qu’on propose quelque affaire qui est agréable. Un envieux qui entend médire mord à la grappe » (Furetière).

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 5 décembre 1653, note 12.

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(Consulté le 09/12/2025)

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