| Note [3] |
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« qui procurent une faiblesse des intestins à presque tous les provinciaux, comme nos anciens l’ont observé depuis longtemps déjà. » La pollution microbienne de l’eau et des aliments est toujours responsable de la « diarrhée des voyageurs », connue sous le nom de turista en Amérique centrale. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 28 avril 1654, note 3.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0347&cln=3 (Consulté le 13/12/2025) |