| Note [12] |
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« il redoute en effet la suffocation de ces deux parties, ce qui est habituel à tous les vieillards ». La suffocation de la poitrine était l’asphyxie (par œdème pulmonaire), celle de la tête était l’apoplexie. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 27 octobre 1654, note 12.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0376&cln=12 (Consulté le 07/12/2025) |