| Note [7] |
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Guy Patin allait évoquer de nouveau la procédure engagée para Marie Vincent. Épouse d’Étienne Seignoret, beau-frère de Charles Spon (v. note [1], lettre 280) ; elle venait alors plaider à Paris où elle tomba malade. V. note [21], lettre 413, pour l’heureux dénouement de son procès. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 26 janvier 1655, note 7.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0389&cln=7 (Consulté le 10/12/2025) |