| Note [2] |
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« et de fait nulle loi n’est plus juste que de faire périr par leur propre invention les inventeurs d’un supplice » (Ovide, v. note [37], lettre 291). |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Hugues II de Salins, le 30 avril 1655, note 2.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0401&cln=2 (Consulté le 11/12/2025) |