| Note [18] |
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« d’un pourrissement du poumon avec fièvre continue qui s’est fortifiée en quelques jours, parce qu’au début de la maladie on a omis la saignée qui est un secret inconnu des médicastres de la cour. » |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Claude II Belin, le 14 mars 1657, note 18.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0470&cln=18 (Consulté le 09/12/2025) |