| Note [1] |
|
« il a pâti de la médecine qu’il s’est fait administrer par quelques médecins auliques qui professent un art qu’ils n’ont jamais compris : ainsi meurent les grands seigneurs ». |
|
| Imprimer cette note |
|
Citer cette note
x
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 27 mars 1657, note 1.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0472&cln=1 (Consulté le 08/12/2025) |