| Note [5] |
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C’est-à-dire « choqué, ébranlé » : il semble aujourd’hui bien extravagant de vouloir saigner un homme dans un tel état de choc (collapsus). |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 5 juillet 1658, note 5.
Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/patin/?do=pg&let=0529&cln=5 (Consulté le 09/12/2025) |